Auteur : Jane Seville
Fait partie de la saga : Zero at the Bone
576 Pages. Editions : Milady (Suspense) 2014
576 Pages. Editions : Milady (Suspense) 2014
Résumé :
Témoin d'un meurtre perpétré par la mafia, Jack Francisco, chirurgien, est devenu l'homme à abattre. Mais D, le tueur à gages chargé de l'éliminer, ne peut se résoudre à presser la détente lorsqu'il retrouve sa trace. Il décide même de le protéger. Les deux hommes sont désormais les cibles d'une traque sans pitié. Forcés de s'entraider pour survivre, ils vont découvrir qu'ils ont davantage à partager q'ils l'imaginaient et forger un lien bien plus fort qu'ils s'y attendaient...
Ma chronique :
* Attention risque de Spoilers *
Cette lecture était une première pour moi et j'ai passé un très bon moment. Le fait que ce soit une romance entre deux hommes ne m'a pas du tout gênée au contraire. Je dirais qu'ils sont tout les deux très sensibles et attachants. D est charismatique et viril. Il donne l'image du mec fort, violent, capable de tout et incapable de sentiments. Son métier (tueur à gages) ne nous le dépeint pas de façon positive mais au fil des pages on comprend comment et pourquoi il a été amené à le devenir et c'est très touchant et surtout très bien écrit. Jack est quant à lui un personnage très différent. Il est chirurgien et reconstruit les visages de personnes ayant des accidents. Il sauve des vies à l'instar de D. Dés le départ, on sent que Jack est fixé sur son orientation sexuelle et qu'il n'est pas insensible au charme de D. Par contre lui se défend de cette attraction et essaie de ne pas approfondir leur relation naissante. J'ai beaucoup aimé les passages où ils se sauve la vie l'un l'autre. Ils sont mignons et c'est ce qui fait, je pense qu'on s'attache à eux. La traque et la fuite sont également très intéressante. On suit nos deux amoureux sur une période d'un an entre le moment de leur rencontre et celle où ils sont libérés et ensemble. La plume de l'auteur est très addictive. Elle pousse l'histoire jusqu’au bout et approfondit tout les moments même les plus insignifiants. Pour finir, je pousserai une grosse gueulante contre les traducteurs. Pendant pratiquement tout le roman, ils ont inversé les prénoms des personnages si bien que quelque fois j'ai été contrainte de relire certains passages car je ne savais plus qui faisait quoi. Relisez votre travail avant impression bon sang ! Je n'en ai pas tenu compte dans la note bien sûr.
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